Je vous livre un billet en forme de supplique car je ne peux pas me taire quand je vois le désastre politique qui s’annonce après des années de travail collectif acharné pour mener Jean-Luc Melenchon et la force populaire qu’il avait construite avec nous là où ils sont arrivés en avril 2017.
Je précise que ce billet n’engage que moi, même si je sais déjà que beaucoup se retrouveront dans ce que j’écris. Je cite par exemple expressément Djordje Kuzmanovic mais qu’il soit clair que je ne l’engage en rien par mes propos.